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Un pas de plus vers une "Génération sans tabac”

Alexia Lescart Services du Collège réuni

Alexia Lescart, attachée au service Santé et Aide aux personnes des Services du Collège réuni (administration de la Cocom), joue un rôle actif dans la lutte contre le tabac. Depuis le 1er janvier 2023, les Services du Collège réuni se chargent de la politique liée au sevrage tabagique, en collaboration avec Iriscare pour la gestion des remboursements. 

Son travail s’articule sur deux piliers : tout d’abord, la contribution à la réflexion sur la politique actuellement mise en œuvre, en région bruxelloise, concernant le remboursement des consultations de sevrage tabagique. Il y a ensuite un aspect stratégique : “Depuis près de deux ans, je participe également, pour le compte de SCR (Services du Collège Réuni), au groupe de travail qui a permis l'élaboration de la Stratégie Interfédérale pour une génération sans tabac explique Alexia. “Cette stratégie, qui se décline de 2022 à 2028, a pour objectif de réduire le nombre de consommateurs de tabac sans les stigmatiser. Pendant plus d’un an, j’ai donc participé à des concertations avec plusieurs acteurs au niveau interfédéral : divers cabinets ministériels, la COCOF, le SPF Santé publique, l’AVIQ ou encore l’AZG (Agentschap Zorg en Gezondheid). Grâce à ces rencontres, nous sommes arrivés, en décembre 2022, à un plan d’actions qui a été validé !” 

Des actions de prévention au programme 

Ce plan doit maintenant être décliné et se concrétiser notamment par des actions de prévention. “C’est le début d’un autre travail, qui va consister en des actions de sensibilisation, à destination des citoyens bruxellois et des professionnels, des administrations, mais aussi sur les lieux de travail ou de loisirs. En concertation avec les acteurs actifs dans la lutte contre le tabagisme dont Belta, qui, entre autres, pilote le plan bruxellois de prévention et de gestion du tabagisme/vape, nous réfléchissons aussi, à la promotion d’environnements sans tabac et au renforcement de la collaboration entre acteurs sociaux, de la santé et de promotion de la santé. Et tout cela doit bien entendu se faire dans le respect des compétences de nos institutions et en complémentarité avec les actions de prévention et d’aide au sevrage tabagique déjà financées par la COCOM.” conclut Alexia.